SVT - LaboSVT.com - Articles par thème : Première S - Génétique

Giobrunetti a écrit : L’exemple de la phénylcétonurie peut-être utilisé à différents moments du thème de génétique de première S : Pour mettre en évidence la relation entre le génotype et le phénotype grâce aux activités 1 à 4, mais aussi pour illustrer la complexité de la relation entre le génotype et le phénotype, avec l’influence de l’environnement avec les activités 5 à 7. Pour L’accroche initiale je propose comme constat l’indication d’une canette de "Coca light" : contient une source de phénylalanine. On se demande alors Qu’est-ce que la Phénylalanine ? Quel est le devenir de cette molécule dans notre corps ? Pourquoi cette indication ne concerne que les boissons light ? Pour quels individus atteints cette information est-elle importante ?


Note : Les fichiers Anagène des activiés sont disponibles dans la rubrique Téléchargements/Documents du site.

FB a écrit : Un TP/TD qui, puisqu'il se situe en fin de partie est aussi une occasion de dresser un bilan des interactions possibles entre les différents intervenants dans l'expression d'un phénotype. Constitué de quatre modules (plus un bilan), il est bien sûr utilisable en tout ou partie mais le bilan s'en trouvera moins pertinent.

 Les notions du mod.3 étant souvent abordées en cours ou devoir (chats siamois, lapins himalayens...), il se limite ici à une simple question de mobilisation des acquis. Le mod.4 est l'occasion de montrer que de "bons comportements" sont souvent salutaires ! ;-)

Objectifs :

- Les différents niveaux d'action possible de l'environnement sur les effecteurs moléculaires du phénotype.
- Interactions des effecteurs impliqués dans la réalisation d'un phénotype.

samuel a écrit : Un nouveau dossier "TP/TD-Cours" complet sur le thème des relations génotype phénotype en première S. Les notions sont abordées par le biais d'exercices intégrés conduisant à une synthèse partielle et une nouvelle problématique. A utiliser en tout ou partie...

Extrait : "Au sein d'une espèce, chez chaque individu, le programme génétique permet la mise en place de caractères dont l'ensemble constitue le phénotype. On peut observer le phénotype à différentes échelles : macroscopique, cellulaire et moléculaire. Ces phénotypes sont étroitement liés mais c'est le phénotype moléculaire qui est à l'origine des deux autres. Les protéines sont le support du phénotype moléculaire. C'est la forme de la protéine, conditionnée par les propriétés physico-chimiques des acides aminés constitutifs de la protéine, qui est responsable de sa fonction et de son niveau d'activité, et par conséquent des différents phénotypes."

FB a écrit : Voici une page (en anglais) proposant un exercice à première vue assez "bête et méchant" :
il s'agit de classer une série d'imagettes montrant chacune une cellule méristèmatique au cours de son cycle cellulaire. Les proportions sont globalement respectées, il y a donc bien plus d'interphases puis de prophases que de métaphases par exemple. Bref, un petit exercice qui peut s'intégrer en fin de séance d'observation pour les élèves les plus rapides.

Suivre ce lien : http://www.biology.arizona.edu/cell_bio/activities/cell_cycle/01.html

JFL a écrit : Le phénotype dépend des propriétés des protéines synthétisées. Or ce sont les gènes qui codent pour les protéines responsables des caractères phénotypiques. On pourrait penser qu’il existe une relation linéaire entre un gène et un caractère. En réalité, les relations entre génotype et phénotype sont souvent plus complexes.

Note : Il est ponctuellement fait référence à un manuel de 1S. Il s'agit de celui des éditions Hatier.